Le burn-out, ou syndrome d'épuisement professionnel, résulte d'une exposition prolongée à un stress intense, souvent lié au travail.
Il ne s'agit pas simplement d'une « grande fatigue », mais d'un état d'épuisement global – physique, émotionnel et psychologique – qui empêche la personne de fonctionner normalement.
Les signes du burn-out
Le burn-out évolue progressivement et peut se manifester par :
Les facteurs favorisants
Plusieurs éléments peuvent contribuer au burn-out :
💼 Facteurs professionnels
Charge de travail excessive, rythme soutenu, manque de reconnaissance ou de soutien
⚖️ Conflit de valeurs
Valeurs personnelles en contradiction avec celles de l'entreprise
🎯 Traits personnels
Perfectionnisme, culpabilité, difficulté à poser des limites
💭 Facteurs psychologiques
Terrain anxieux ou dépressif préexistant
Comment la thérapie brève et l'hypnose peuvent aider
La prise en charge du burn-out repose d'abord sur la reconnaissance du problème et la nécessité de ralentir. Les thérapies brèves et l'hypnose peuvent alors intervenir pour :
- ✓ Réduire les symptômes d'épuisement (fatigue, troubles du sommeil, anxiété)
- ✓ Restaurer la confiance et l'estime de soi, souvent ébranlées
- ✓ Modifier les schémas de pensée et de comportement qui entretiennent l'épuisement (perfectionnisme, difficulté à dire non, surinvestissement)
- ✓ Renforcer les ressources personnelles grâce à l'hypnose (ancrages de détente, visualisation d'un avenir plus équilibré)
- ✓ Accompagner un repositionnement personnel et professionnel, pour retrouver un équilibre de vie plus sain
Un accompagnement global et complémentaire
La thérapie brève et l'hypnose apportent alors un soutien personnalisé pour reconstruire pas à pas un équilibre de vie, retrouver de l'énergie et réapprendre à s'écouter.
Exemple de travail réalisé
Isabelle, 42 ans, cadre dans une entreprise, consultait pour un épuisement intense. Depuis plusieurs mois, elle travaillait tard le soir, dormait mal et ressentait une fatigue permanente. Peu à peu, elle avait perdu tout plaisir au travail, se sentait inefficace et culpabilisait de « ne pas en faire assez ». Elle décrivait aussi des crises de larmes fréquentes, une irritabilité inhabituelle et une perte de confiance en elle.